Rechercher dans ce blog

12/13/2014

Un beau jour on m'a libéré

"Le corps de mon ennemi"

"Un beau jour - oui c'était un beau jour - on m'a libéré sans crier gare. En haut lieu, on estimait que j'avais assez payé. Point final en plein milieu du chapitre. Voilà... valise, paperasses, une signature, et salut ! Je me suis retrouvé sortant d'une gare parisienne un peu comme un poisson qui aurait séjourné longtemps dans un bocal et qu'on rejetterait à la rivière."

Alphonse Boudard, La métamorphose des cloportes

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire