“Goût de l’analyse, de
l’apparat, de l’art, de l’aventure, du bonheur, de la catastrophe, de
la dépendance, de la dépense, de la destruction, de l’éternité, de la
lecture, du luxe, du malheur, de la mort, du mystère, du panache, du
paradoxe, du parfum, de la perfection, de la plaisanterie, du plaisir,
de la poésie, de la possession, de la pureté, du sacrifice, du sang, du
suicide. Nous comprenons que Pierre Corneille ait aimé chez ces
personnages le goût violent de l’absolu.”
Robert Brasillach, Corneille

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