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1/23/2016

Massification, vilain mot !

 « C’était encore notre manie de jouer les Hussards : entre l’élitisme et l’éthylisme, plus très jeunes gens de trente-cinq ans, nous avions choisi le cynisme morbide de ceux qui sont condamnés par la massification. Vilain mot qui commence comme massicot et finit comme dissection mais bref, nous étions de droite rien que pour emmerder le monde qui d’ailleurs d’en fichait. »
ADG

3 commentaires:

  1. Bonjour à vous;
    je ne sais si je vais déranger mais j'aurais une question,
    je suis au point de finir les Enfants du bon Dieu et je ne sais pas par quel livre continuer,
    lequel de Blondin me conseillerez vous?
    Merci d'avance, et j'espère ne pas vous emmerder.

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  2. Blondin disait de lui : « Je suis resté mince, mon œuvre aussi ! »... Il se boit cul sec, tous les millésimes à suivre, en un été... en écartant peut-être le typé vélo ou rugby nécessitant une mise en jambe particulière. Prenez "L'Europe buissonnière", premier livre qui permettra d'aller vers "Les Etonnements de Guillaume Francoeur" d'André Fraigneau puis "Le jeune homme vert" de Michel Déon... A partir de septembre vous pourrez lire "Un singe en Hiver".
    Ah ! J'oubliais, c'est un frivole profond... il faudra y revenir !

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  3. Dose de cheval pour un inculte des cavaliers, je prends!
    Merci à vous, je leur trouverai une place entre Nietzsche et Racine.

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