"Toujours vif, comme au premier jour de cours
Ou tour à tour les mecs te matent
Claques pas des genoux ou t'es viré de la cour
Tenir le coup, regard froid, fais pas le tocard
L’œil au beurre noir, vaut mieux le faire que l'avoir
Dès le plus jeune âge, engrainé à évoluer
Dans une meute où l'ego se fait les dents sur les colliers d'à-côté
Où les réputations se font et se défont
Où les moins costauds enjambent les ponts
Se défoncent sans modération
En guerre permanente avec les autres, les bandes se forment
On comprend vite qu'on est plus fort avec ses potes
En somme, voici venir l'âge béni
Où tu te crois homme mais t'es qu'un con et y'a qu'à toi qu'on l'a pas dit
Les autres jouent les caïds pour une bille, puis une fille
Les poils s'hérissent, les dents grincent, on tape pour des peccadilles
Évite les yeux, on doit pas voir quand ça va mal
La moindre faille physique ou mentale, l'issue peut être fatale
On grandit au milieu des rônins
Chacun sa barque pourrie et sur sa mer de merde
Chacun sa voie, sa vie
Devant l'adversité, les coudes se soudent
On pousse un kiaï, le doute se taille
Prêt à mourir comme un samouraï"
Ou tour à tour les mecs te matent
Claques pas des genoux ou t'es viré de la cour
Tenir le coup, regard froid, fais pas le tocard
L’œil au beurre noir, vaut mieux le faire que l'avoir
Dès le plus jeune âge, engrainé à évoluer
Dans une meute où l'ego se fait les dents sur les colliers d'à-côté
Où les réputations se font et se défont
Où les moins costauds enjambent les ponts
Se défoncent sans modération
En guerre permanente avec les autres, les bandes se forment
On comprend vite qu'on est plus fort avec ses potes
En somme, voici venir l'âge béni
Où tu te crois homme mais t'es qu'un con et y'a qu'à toi qu'on l'a pas dit
Les autres jouent les caïds pour une bille, puis une fille
Les poils s'hérissent, les dents grincent, on tape pour des peccadilles
Évite les yeux, on doit pas voir quand ça va mal
La moindre faille physique ou mentale, l'issue peut être fatale
On grandit au milieu des rônins
Chacun sa barque pourrie et sur sa mer de merde
Chacun sa voie, sa vie
Devant l'adversité, les coudes se soudent
On pousse un kiaï, le doute se taille
Prêt à mourir comme un samouraï"
Shurik'n, Samuraï
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