«
Il faut à la France, non seulement pour ramener à la vie son cadavre mais aussi
lui rappeler sa secrète destinée, rien moins que surnaturelle, exiger que la
plus formidable déflagration secoue sa chair molle, qu’un mélange étonnant
d’épopée guerrière et de lamentable chute, de grandeur et de petitesse,
fouaille sa paresse, la surprenne, la choque, soit proche de la détruire. En
une phrase, il ne faut pas craindre, pour l’homme politique de penser et d’agir
contre les atermoiements de lilliputiens des bien-pensants. »
Juan Asensio,
L’âme de Léon Bloy
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