On ne comprend plus rien du jeu. On ne sait à quoi employer les avions, les tanks, la dame de pique… On la jette au hasard sur la table, après s’être creusé la tête pour lui découvrir un rôle efficace. La malaise règne, et non la fièvre, La victoire seule s’enveloppe de fièvre. La victoire organise, la victoire bâtit. Et chacun s’essouffle à porter ses pierres. Mais la défaite fait tremper les hommes dans une atmosphère d’incohérence, d’ennui, et, par-dessus tout, de futilité.
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