« L’âge des héros rebâtira un pouvoir ; il n’est
pas de grand siècle du passé qui ne se soit donné cette tâche (…). Notre
société n’a que des banques pour cathédrales ; elle n’a rien à transmettre qui justifie un nouvel « appel aux conservateurs » ; il
n’y a, d’elle proprement dite, rien à conserver. Aussi sommes-nous
libres de rêver que le premier rebelle, et serviteur de la légitimité
révolutionnaire, sera le Prince chrétien. »
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