« – Qu’est-ce qu’ils ont tous ces types ? Qu’est-ce que tu leur trouves ?
– Ils ont quelque chose que tu n’as plus, François.
– Ah, oui… La jeunesse !
– Oh non. Pas toujours. Ils n’ont même pas ton intelligence, ni ton… ni ta force… Ils sont vivants.
– C’est quoi ça ? Vivant ?
– Toi, tu m’entretiens mais tu ne me fais pas vivre. Tu ne sais plus. Parce que tu nous méprises.
– Qui « nous » ?
– Tout. Tes enfants, tes amis, ta femme… Même ton métier. Tu n’es plus qu’une machine à sous. Tu n’as plus de sang, tu n’as plus d’air. Alors je respire ailleurs… »
Dialogue du film « Vincent, François, Paul, et les autres » (1974), de Claude Sautet.
– Ah, oui… La jeunesse !
– Oh non. Pas toujours. Ils n’ont même pas ton intelligence, ni ton… ni ta force… Ils sont vivants.
– C’est quoi ça ? Vivant ?
– Toi, tu m’entretiens mais tu ne me fais pas vivre. Tu ne sais plus. Parce que tu nous méprises.
– Qui « nous » ?
– Tout. Tes enfants, tes amis, ta femme… Même ton métier. Tu n’es plus qu’une machine à sous. Tu n’as plus de sang, tu n’as plus d’air. Alors je respire ailleurs… »
Dialogue du film « Vincent, François, Paul, et les autres » (1974), de Claude Sautet.
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